BÂTARDISE À TRAVERS LES ŒUVRES D’ANDRÉ GIDE

Özet

Au vingtième siècle, la bâtardise est un problème d’ordre économique et social. Le fait d’être né de parents non mariés et d’être un enfant illégitime empêche l’individu d’avoir les mêmes droits que les personnes de son âge. De plus, il ne peut pas s’intégrer dans la société de ses semblables car il est le fruit d’un amour interdit. C’est à ce moment-là qu’André Gide intervient par l’intermédiaire de sa plume, louant celui ou celle qui est resté en marge de la société. Il défend l’innocent, c’est-à-dire le bâtard, qui n’y est pour rien dans tout cela. L’adultère commis par ses parents ne devrait pas l’ombrager dans sa vie privée et professionnelle. Tout au contraire, il devrait prendre part à la société sans subir la pression psychologique des autres personnes. Ainsi, il pourra être protégé des dangers qui s'y présenteront. L'expulsion de la société peut entraîner l'individu sur de mauvaises pistes et par la suite, il est possible qu'il en fasse de lui un être impitoyable. L’être condamné à vivre seul avec son fardeau de honte, nuira tôt ou tard à la société. Lafcadio du livre Les caves du Vatican est un bon exemple pour cette partie-là. Dans notre travail, nous examinerons deux adolescents grandis dans différentes familles. Nous pouvons dire qu’ils ont chacun leur propre histoire. Dans les deux cas, nous traiterons le surgissement de la vérité, la réaction des personnages et les effets de cette vérité dans la vie des personnages.